Révélation ‟Le Monde”: perte du dossier d’entrée de Ouidah au patrimoine mondial de l’Unesco

Ouidah

Ouidah encore appelé ‟Gléhoué ” est riche en histoire de traite négrière. Ouidah fut le port à partir d’où les noirs furent exportés vers le Nouveau Monde (Amérique).
Pour mémoire, Ouidah est une ville de la République du BENIN située à environ 42 Kilomètres de Cotonou, capitale politique du BENIN avec une population de plus de 100. 000 habitants.
Ouidah, c'est aussi la ville de l'actuel président Patrice TALON.
Ouidah était célèbre par ces nombreux forts notamment forts pour Portugais, fort pour Français, fort pour Britanniques et fort pour Danois.
Les hommes et femmes noirs bien portants étaient devenus la proie facile des commerçants négriers. Les Noirs étaient capturés au temps de la traite négrière et amenés vers chacun des forts français ou portugais ou britannique ou danois puis ensuite, ils sont enchainés avant d’être mis dans l’embarcation direction La Case de L’Oncle SAM.
Cette activité négrière a longtemps durer sur les plages de Ouidah. Aujourd’hui, la pratique a cessé, mais la mémoire et les objets demeurent. Le BENIN ayant voulu immortalisé cet endroit aurait constitué dans les années antérieures un dossier de son adhésion au Patrimoine mondial de l’Unesco.
Ce matin Mardi 12 Juillet 2016 à 06h42, le Journal français Le Monde vient de publier une révélation sur une probable perte de dossiers d’adhésion de la ville de Ouidah dans le patrimoine mondial de l’UNESCO.

L’axe diplomatique bénino-ivoirienne en études

Renforcement des liens BENIN-Côte d’Ivoire


Les relations diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et le Bénin ne datent pas d’aujourd’hui. Le Bénin a toujours été une république sœur pour la Côte d’Ivoire. La circulation des biens et des personnes entre le Bénin et la Côte d’Ivoire marche bien.
Cependant, il convient de renforcer ces relations ou de les réchauffer, car toute relation stagnante risque de régresser s’elle n’est pas réchauffée de temps en temps. C’est pour cette raison que le Président Patrice TALON entend renforcer les liens entre son pays et la Côte d’Ivoire.
Pour rappel, en Afrique francophone, la Côte d’Ivoire est l’un des pays les plus prospères. Elle a prospéré dans le commerce, l’industrie et surtout dans l’agriculture. Elle a su favoriser le climat de l’investissement facilitant les affaires pour les ivoiriens et aussi pour les investisseurs étrangers. Elle a aussi réussi une politique foncière qu’elle s’est dictée. Cette politique foncière est héritée depuis l’ère HOUPHOUET Boigny.
Dans le domaine agricole, la Côte d’Ivoire est très avancée et peut beaucoup apporter au Bénin. Elle développe des technologies et arrive même à transformer régulièrement une partie de chacune de sa production agricole.
Elle s’est fait doter des usines de transformation lui permettant de transformer le maïs, le sorgho, le riz et surtout le cacao dont elle est la première productrice en Afrique et parfois dans le monde.
Le renforcement des liens diplomatiques entre le Bénin et la Côte d’Ivoire se traduira aussi par le renforcement des liens agricoles, ce qui permettra au Bénin de se rattraper dans ce domaine.
Exploitons donc en partie certains savoir-faire de la Côte d’Ivoire pour nous mettre au pas.

Une jeune maman pique crise en pleurant l’échec de son fils ainé


Elle tombe dans le coma après l’échec de son fils au CEP



Dans un quartier de Cotonou, juste après la proclamation des résultats du CEP session de Juin 2016, une jeune femme d’une trentaine d’âge environ, ne pouvant pas supporter l’échec au CEP (Certificat d’Etudes Primaires) de son fils ainé, se fond en large. Elle pousse des cris de gémissement, des cris de deuil, des cris d’amertume faisant des va-et-vient dans sa maison avant d’éclater de pleure. Elle pleure amèrement et à gorge déployée. Il affirme ne pas comprendre cet échec et se demande pourquoi dans leur maison, sur trois (03) candidats au CEP, se serait son fils seul qui va échouer.
Dans ses nombreux discours lors de son gémissement, elle évoque aussi de nombreuses dépenses qu’elle a eu à effectuer sur son fils. Pleure et gémissement comparable à ceux qu’on entend quand il y deuil.
Malgré toutes les consolations morales que sa maisonnée lui apporte, celle-ci ne se désarme pas de son amertume. Après 4 heures de temps sombres de gémissement, elle tombe évanouir et n’était revenue en elle qu’après environ 1h30 de temps.
Cette jeune maman, que ferait-elle si son fils échouait au BEPC ou encore que ferait-elle si son enfant échouait pour le Baccalauréat ?
Conseils : L’échec au CEP n’a jamais été la fin du monde et ne la sera jamais. Ayons le courage d’accepter et de supporter nos échecs s’ils se présentent à nous. Perdre une bataille ou deux batailles ne signifie pas perdre la guerre. Et sachons aussi que qui perd son courage, perd sa guerre. La vie c’est une guerre et se sont les courageux qui la gagne.