RDC une info religieuse

Selon les infos relayées par les médias, et surtout RFI nous retenont ''d'apres les milices Bana Mura, ce sont des militaires qui sont accusés de détournements de mineurs. Le Bureau conjoint de l’ONU pour les droits de l’homme a officiellement saisi le gouvernement depuis plus d’un mois. Une enquête a été ouverte par la justice militaire, mais la société civile s’inquiète de voir les victimes et les preuves disparaître les unes après les autres.
Quand le 2105e régiment est arrivé à Tshikapa, les défenseurs des droits de l’homme ont noté la présence parmi les « femmes » de militaires des filles manifestement mineures, certaines étaient même enceintes.
Selon plusieurs sources locales, il s’agit de dix-huit filles âgées de 14 à 17 ans. Le bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l’homme a été alerté et a jugé l’affaire suffisamment sérieuse pour saisir plusieurs ministères. Depuis, les activistes ont été menacés et ont constaté la disparition d’au moins cinq filles, ainsi que des changements dans les témoignages de certaines victimes ou même de leurs parents. De sources concordantes, cinq militaires ont été arrêtés…
L’auditorat militaire dit attendre l’expertise médicale qui doit déterminer l’âge des victimes avant de les remettre aux services de protection de l’enfance. On parle aussi de duplicatas de cartes d’électeurs pour justifier de l’âge des victimes.
Ces manœuvres agacent la société civile. Il y a deux ans, elle avait dénoncé un autre réseau pédophile et le rôle d’un chef coutumier dans l’enlèvement et les viols d’une trentaine de mineures. Les mêmes moyens avaient été utilisés pour balayer les témoignages des victimes. Même si officiellement la procédure est toujours ouverte, le chef de milices et du réseau pédophile est devenu député membre de la coalition aujourd’hui au pouvoir.''..

BENIN-Révision de la Constitution: l’Assemblée nationale adopte à l’unanimité


Au Bénin, le Parlement composé de 83 députés a voté à l'aube du 1er Novembre 2019 la loi de révision de la Constitution béninoise.

Lors de la révision des lois fondamentales, plusieurs articles ont été touchés tels que les articles 5, 15, 26, 41, 42, 43,44, 45, 48, 49, 50, 52, 53, 54, 54-1, 62, 6261, 62-2, 62-3, 62-4, 80, 81, 82, 92, 99, 112, 117, 119, 131, 132, 134-1, 134-2, 134-3, 134-4, 134-5, 134-6, 134-7, 143, 145, 151-1, 153-1, 153-2, 153-3, 157-1, 157-2 et 157-3.

La cours constitutionnelle devra valider ou invalider cette modification.

Il ne s’agit ni d’une nouvelle République ni d’une nouvelle Constitution, disent les initiateurs de la révision, qui expliquent que c’est la nature des recommandations du dialogue politique, transformée en proposition de loi qui l’imposait. Quelles sont les principales modifications ?

La révision votée ne touche pas à la durée du nombre de mandats du président de la République. Il y a même un rajout. Le nouveau texte précise « qu’aucun Président de la République ne peut faire plus de deux mandats dans sa vie ».

Pour la première fois, le nombre de mandats des députés est limité à trois. Avant ce vote, certains vétérans de la vie parlementaire béninoise en totalisaient six.

Le texte révisé, crée un poste de vice-président, qui devra être élu en duo avec le président de la République. Il sera désormais exigé des candidats au scrutin présidentiel le parrainage d’élus. Une disposition qui met en colère l’opposition. Elle n’aura pas non plus gain de cause sur sa demande insistante de dissolution de l’Assemblée nationale actuelle dont le mandat s’achève en 2023.

Les élections générales sont introduites. Elles auront lieu en 2026.

C’est après 29 ans de vie que la Constitution béninoise est modifiée. Les Béninois l’ont toujours vénérée. Toutes les tentatives de modifications précédentes ont échoué. Il fallait un vote au 4/5 pour que cela passe. C’est arrivé ce 1er novembre, les 83 députés, tous de la majorité au pouvoir, l’ont votée à l’unanimité.

BENIN: VILLE de COTONOU

Au BENIN, Cotonou est la plus importante ville du BENIN et c'est toujour Cotonou la capitale économique du BENIN,

La ville économique a pris la tête du pays et est devenue politico-économique.

Porto-Novo, la capitale politique officielle est impuissante face à l’ascension persistante du poumon de l'économie: COTONOU.

ICI dans cette vidéo, nous pouvons voir seulement un des artères principal de AKPAKPA quartier périphérique de COTONOU.