Le Président SOGLO prodigue des conseils au président Patrice TALON


C’était ce jeudi 13 Avril 2017 que l’ancien président Nicéphore Dieudonné SOGLO a eu à prodiguer quelques conseils au président TALON afin de l’aider à réussir le reste de son mandat présidentiel. IL lui prodiguait ses conseils en ces termes :

«… Nous étions, il y a un an, gonflés d’espoir au lendemain des élections. On se croyait revenu en 1990 sous la Transition. Mais après un bon départ, la machine s’est soudainement grippée. Et pour beaucoup, dès lors, le cœur n’y était plus ; pour les multiples raisons que nous connaissons tous…Le Président TALON a maintenant quatre ans pour redresser la barre. Il doit remettre le pays au travail en mettant le cap sur le développement économique et social…»

«Quel est donc ce puissant souverain qui est à la source de toute légitimité ? Ce sont simplement tous nos nationaux de l’intérieur comme de l’extérieur… » a-t-il poursuivit

Puis, il suggère 5 points qui sont selon lui obligatoire à revoir afin de satisfaire son peuple.
Voici les 5 points suggérés par l’ancien président SOGLO :

1. Les éternels oubliés : paysans et artisans qui représentent la majorité dans nos nations,
2. Les partis politiques : qui ont pour vocation d’écouter, d’aider, d’informer et d’encadrer le peuple,
3. Les syndicats, ordres et associations : qui doivent défendre les intérêts des travailleurs ou de leurs adhérents,
4. Les grandes religions : sans exception dont chacun connait le rôle,
5. Les institutions traditionnelles et la société civile qui sont nos vigies c’est-à-dire nos chiens de garde.
IL poursuit en disant :
«Il faut sans cesse les consulter et ne jamais oublier qu’on est souvent plus intelligent à plusieurs que seul. »

Crise à l’Ordre des pharmaciens du Bénin: La Cour suprême déboute l’aile Toukourou

Dans son arrêt, la Cour suprême déclare irrecevable le recours en annulation, ce qui vient conforter le camp du Dr Ainadou.

Un nouveau rebondissement dans la crise qui secoue l’Ordre national des pharmaciens du Bénin depuis fin 2014. La Cour suprême a rendu en janvier dernier une série d’arrêts dans le dossier.
Et les nouvelles ne sont pas bonnes pour l’aile de l’ONPB, dirigée par Dr Moutiatou Tidjani Toukourou. En effet, par deux arrêtés pris en décembre 2014 (un arrêté initial et un arrêté rectificatif), la ministre de la Santé de l’époque, professeur Dorothée Kindé Gazard, avait autorisé l’organisation des élections pour le renouvellement des instances dirigeantes de l’Ordre des pharmaciens du Bénin. Le processus électoral tel que mené, avait été contesté par la présidente sortante d’alors Dr Moutiatou Tidjani Toukourou.
Depuis, son camp et elle remettent en cause la légalité du bureau élu à l’issue des élections ordinales organisées au Palais des Congrès le 27 décembre 2014, et ayant à sa tête le Dr Henri Charles Ainadou. Conséquences, l’on assiste à un bicéphalisme à la tête de l’Ordre avec d’un côté l’aile du Dr Moutiatou Tidjani Toukourou, la présidente sortante et de l’autre Dr Henri Charles Ainadou.
Mais visiblement, la bataille juridique engagée fait beaucoup plus le bonheur du camp Ainadou. En effet, le camp du Dr Toukourou a introduit plusieurs requêtes à la Cour suprême pour l’invalidation du processus ayant conduit à l’élection du Dr Ainadou. L’une d’elles attaque le fondement juridique même dudit processus électoral. Le 17 mars 2017, une requête a été introduite auprès de la haute juridiction pour annulation pour excès de pouvoir de l’arrêté N°
0689/MS/DC/SGM/CTJ/DPMED/DA/SA,du 09 décembre 2014 portant modalités d’organisation des élections relatives au renouvellement des conseils centraux et du Conseil national de l’ordre des pharmaciens du Bénin, et l’arrêté N°0691/MS/DC/SGM/CTJ/DPMED/DA/CEO/SA du 18 décembre 2014, portant modification du premier arrêté.
Dans son arrêt, la Cour suprême déclare irrecevable le recours en annulation, ce qui vient conforter le camp du Dr Ainadou. Ci-desous une copie de l’arrêt de la Cour suprême.




Source: beninwebtv

La sexualité : Ils sont surpris nus et à l’acte sur un chantier délaissé

La sexualité, les temps jadis en Afrique, était considérés comme un très grand tabou, un sacré.
Jusqu’aux environ de l’année 2000, ce phénomène de sacralisation du sexe demeure encore intact.
Les années suivantes ont permis de faire des avancées considérables en passant de sacralisation absolue du sexe à une petite désacralisation, une désacralisation qui est encore à l’étape embryonnaire.
La sacralisation de la chose a eu raison sur deux de nos amis ( voir photo ci-dessous) qui, ne sachant comment et oû satisfaire leur désir sexuel, se font malheureusement surpris couchés à même le sol et à l’acte dans un chantier abandonné. La photo ci-dessous vous en dire plus.
Ces deux amis ont réussi à gouter la pomme interdite, malheureusement, ils sont surpris et photographiés au moins par deux reprises.
La sexualité, à quand la démocratisation sexuelle et sans crainte d’être surpris !
Un conseil : Si vous ne souhaitez pas être surpris à l’acte comme nos deux amis, alors ayant votre femme ou votre mari et soyez-en fidèle, sinon, attention à la caméra et photo espions.