Crise à l’Ordre des pharmaciens du Bénin: La Cour suprême déboute l’aile Toukourou

Dans son arrêt, la Cour suprême déclare irrecevable le recours en annulation, ce qui vient conforter le camp du Dr Ainadou.

Un nouveau rebondissement dans la crise qui secoue l’Ordre national des pharmaciens du Bénin depuis fin 2014. La Cour suprême a rendu en janvier dernier une série d’arrêts dans le dossier.
Et les nouvelles ne sont pas bonnes pour l’aile de l’ONPB, dirigée par Dr Moutiatou Tidjani Toukourou. En effet, par deux arrêtés pris en décembre 2014 (un arrêté initial et un arrêté rectificatif), la ministre de la Santé de l’époque, professeur Dorothée Kindé Gazard, avait autorisé l’organisation des élections pour le renouvellement des instances dirigeantes de l’Ordre des pharmaciens du Bénin. Le processus électoral tel que mené, avait été contesté par la présidente sortante d’alors Dr Moutiatou Tidjani Toukourou.
Depuis, son camp et elle remettent en cause la légalité du bureau élu à l’issue des élections ordinales organisées au Palais des Congrès le 27 décembre 2014, et ayant à sa tête le Dr Henri Charles Ainadou. Conséquences, l’on assiste à un bicéphalisme à la tête de l’Ordre avec d’un côté l’aile du Dr Moutiatou Tidjani Toukourou, la présidente sortante et de l’autre Dr Henri Charles Ainadou.
Mais visiblement, la bataille juridique engagée fait beaucoup plus le bonheur du camp Ainadou. En effet, le camp du Dr Toukourou a introduit plusieurs requêtes à la Cour suprême pour l’invalidation du processus ayant conduit à l’élection du Dr Ainadou. L’une d’elles attaque le fondement juridique même dudit processus électoral. Le 17 mars 2017, une requête a été introduite auprès de la haute juridiction pour annulation pour excès de pouvoir de l’arrêté N°
0689/MS/DC/SGM/CTJ/DPMED/DA/SA,du 09 décembre 2014 portant modalités d’organisation des élections relatives au renouvellement des conseils centraux et du Conseil national de l’ordre des pharmaciens du Bénin, et l’arrêté N°0691/MS/DC/SGM/CTJ/DPMED/DA/CEO/SA du 18 décembre 2014, portant modification du premier arrêté.
Dans son arrêt, la Cour suprême déclare irrecevable le recours en annulation, ce qui vient conforter le camp du Dr Ainadou. Ci-desous une copie de l’arrêt de la Cour suprême.




Source: beninwebtv

La sexualité : Ils sont surpris nus et à l’acte sur un chantier délaissé

La sexualité, les temps jadis en Afrique, était considérés comme un très grand tabou, un sacré.
Jusqu’aux environ de l’année 2000, ce phénomène de sacralisation du sexe demeure encore intact.
Les années suivantes ont permis de faire des avancées considérables en passant de sacralisation absolue du sexe à une petite désacralisation, une désacralisation qui est encore à l’étape embryonnaire.
La sacralisation de la chose a eu raison sur deux de nos amis ( voir photo ci-dessous) qui, ne sachant comment et oû satisfaire leur désir sexuel, se font malheureusement surpris couchés à même le sol et à l’acte dans un chantier abandonné. La photo ci-dessous vous en dire plus.
Ces deux amis ont réussi à gouter la pomme interdite, malheureusement, ils sont surpris et photographiés au moins par deux reprises.
La sexualité, à quand la démocratisation sexuelle et sans crainte d’être surpris !
Un conseil : Si vous ne souhaitez pas être surpris à l’acte comme nos deux amis, alors ayant votre femme ou votre mari et soyez-en fidèle, sinon, attention à la caméra et photo espions.

Candide AZANNAI annonce sa démission du gouvernement




La démission de Candide Armand-Marie AZANNAI, ministre délégué auprès du président de la république chargé de la défense a sonné comme un coup de tonnerre ce lundi 27 mars 207 dans la matinée.
Alors que l’homme jusqu’à ce lundi matin était considéré comme un pilier incontournable du gouvernement TALON, vient de démontrer le contraire au public béninois.
Sa démission laisse entendre que le gouvernement du Nouveau Départ ne peut plus compter sur Lui.
Heureusement pour le pouvoir qu’après Candide, se trouvent d’autres piliers importants dont l’incontournable Iréné KOUKPAKI et le ministre du développement Bio TCHANE. IL est vrai que le natif de Porto-Novo Mr Candide AZANNAI était un poids pour le gouvernement, mais sa démission en ce moment ne peut pas pour autant fragiliser le pouvoir en place.
Si l’éloignement du patron de Cajaf COMON, Mr Sébastien ADJAVON n’a pas en son temps fragiliser le gouvernement, la démission de celui-ci ne le fera non plus.
Face à cette démission, les réactions sont diverses. Chacun se fait une vision ou une idée de cette démission surprise.
Nous en tant que béninois, ne pouvons que souhaiter bonne chance au ministre sortant Mr Candide AZANNAI dans ses prochaines activités qu’elles soient politiques ou non.






Réformes et urbanisation de Cotonou

Il n’est plus un secret pour personne que les réformes entamées par le gouvernement de Patrice Talon ont pour but l’urbanisation de tout le BENIN en commençant par la métropole Cotonou.
La libération des espaces publiques soldant par le déguerpissement forcé des usagés s’inscrit bien dans ce schéma d’urbanisation.
Dans un pays bien démocratique comme le nôtre, il est tout à faire normal que nous rattrapions le train en marche, ce train d’urbanisation à grande visite observée chez nos confrères ghanéens, sénégalais, ivoiriens par exemples.
Cette réforme entamée par le chef de l’Etat ne peut réussir que par la volonté et la détermination populaire.
Pour réussir, cette réforme doit avoir le soutien de la classe politique béninoise. Aucun gouvernement ne peut véritablement réussir sa mission s’il n’est accompagné de la classe politique de son pays.
Pour le cas de notre cher pays le BENIN, à l’heure actuelle, nous glorifions le Grand et Créateur DIEU du Ciel de ce qu’il n’y a pas de brouilles entre la classe politique béninoise et le gouvernement.
Même si à l’avenir, une quelconque brouille intervenait entre le pouvoir et la classe politique, nous rendrons toujours grâce au Grand DIEU de ce qu’il permettra que le Bénin s’urbanise réellement et qu’il se développe rapidement.
Le BENIN ne peut parvenir à l’urbanisation et au développement que par l’autodiscipline de ses fils.