Comment télécharger une vidéo YOUTUBE sur son PC ?

Cet article va vous permettre de télécharger des vidéos de YouTube et de les enregistrer sur votre PC en vue d’une utilisation ultérieure et hors connexion. Sur YOUTUBE, se trouvent beaucoup de vidéos de toutes sortes. Mais le but PRINCIPAL dans lequel nous mettons en ligne cet article est de vous permettre d’avoir des vidéos de FORMATION sur votre PC et d’en faire de bon usage, car toutes les institutions du monde souhaitent que les jeunes gens se forment et le GEANT GOOGLE le souhaite aussi pour vous.

Alors, comment procéder donc ?

IL existe plusieurs outils qui aident à télécharger des vidéos YouTube et à les enregistrer sur son PC.

L’outil que j’utilise est fluvore. Avec cet outil, il est facile et rapide de télécharger n’importe quelle vidéo YOUTUBE, Facebook, Vimeo et de l’enregistrer sur son PC.

Mais je ne vous dis pas d’utiliser cet outil. Vous-même, allez sur Google faites la recherche sur les logiciels et sites web gratuits qui permettent d’obtenir le même résultat. Vous allez découvrir pas mal d’outils. Choisissez lequel vous voulez utilisez et suivez ses instructions. Vous verrez qu’il est facile d’avoir n’importe quelle vidéo YouTube, Facebook, Vimeo, …etc sur son PC.



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Facebook : Comment éviter de se faire bloquer par FACEBOOK

Depuis longtemps déjà, le plus grand réseau social Facebook a pris l’habitude de bloquer ses utilisateurs qui, selon lui ne respectent pas certaines de ses conditions d’utilisation. Mais de façon générale, les habitudes et comportements qui font que Facebook
vous bloque sont légions. Pour ne pas se faire bloquer, nous vous prodiguons quelques conseils afin de ne pas se faires expulsé du territoire Facebook. Aujourd’hui, Facebook se dote de moyens technique pour pouvoir reconnaitre et bloquer à nouveau tout utilisateur dont le compte a été bloqué auparavant et qui s’est créer un nouveau compte.

Comment Facebook vous identifie, vous reconnait-il ?

En créant un compte Facebook, le numéro de téléphone utilisé est pris en compte secrètement par Facebook. Dès que dans l’avenir, pour une raison ou une autre votre compte est bloqué, ce numéro de téléphone utilisé pour créer ce compte qui est bloqué ne servira plus jamais, au grand jamais à créer un autre compte Facebook. Si tel est le cas, ce dernier compte créé avec ce même numéro de téléphone connaîtra le même sort dans quelques heures ou jours ou mois, c’est-à-dire ce nouveau compte Facebook créé sera lui aussi bloqué sans raison apparente.
Si vous voulez contourner cette identification par votre numéro de téléphone et vous utilisez un autre numéro de téléphone, mais en réinscrivant votre nom, prénoms, date et lieu de naissance tel quel dans l’ancien compte qui vous a été bloqué, soyez sûr à 99% que ce nouveau compte sera lui aussi bloqué très bientôt sans raison apparente.

Comment éviter d’être bloqué par FACEBOOK ?

Voici quelques un de nos conseils :
Avec Facebook,

- Eviter les fausses identités

-Eviter les usurpations de nom et ou de titre (faute très grave)

-Eviter de publier des images sombre comme photo de profil

Eviter de cacher votre visage lors de la prise de photo pour votre profil Facebook.

-Eviter d’inscrire vos adresses et numéro de téléphone sur les images que vous publiez

-Eviter d’insulter tes interlocuteurs

-Eviter l’ajout abusif des amis que Facebook vous propose.

-Evitez de se faire bloquer par un autre utilisateur de Facebook

-Eviter de poster des photos sur lesquelles se trouvent vos adresses et N° de téléphone

-Eviter de faire de la publicité directe pour vos produits

-Evitez de mettre des photos de profile sur lesquelles figurent vos adresses téléphonique et ou email, …..

L’ensemble de ces comportements et même plus, risque de vous priver à vie du géant réseau social Facebook.

Un Roi béninois en visite en Martinique



Todo Kpodekon Kinmakin de Xwala-Djekin , c’est son nom, ce fut suite à une invitation adressée par les associations martiniquaises Shakti et Mel Makrel dans le cadre de la journée de l'abolition de l'esclavage en Martinique que le roi Todo Kpodekon Kinmakin de Xwala-Djekin s’est rendu en Martinique dans la ville de Basse-Pointe ce jeudi 18 Mai 2017 où il aura a passé une semaine entière.

Au cours de son séjour, le souverain roi Todo Kpodekon Kinmakin de Xwala-Djekin a eu plusieurs entretien avec les associations socio-culturels, les élevés, les écoliers et notamment avec le maire de la ville hôte Mme Marie-Thérèse Casimirius mais aussi avec le député Bruno-Nestor Azérot. Plusieurs questions sociales, culturelles, éducatives et surtout historiques ont été abordés notamment sur la traite négrière.

Le roi a ensuite exhorté les martiniquais et martiniquaises à se réconcilier avec leur continent mère qui est et demeure l’Afrique tout en les demandant d’être fiers de la couleur noire de leur peau puis poursuivant en les rappelant que les africains furent les premiers occupants de toute la terre.

« La race noire est la mère de toutes les races, soyez fiers d'être noirs, je prie pour vous tous et je vous bénis au nom de Dieu »

Répondant aux questions des élèves venus en chœur à sa rencontre, Sa majesté le Roi Todo Kpodekon Kinmakin de Xwala-Djekin disait : « Ce n'est pas une volonté mais un long cheminement pour y parvenir car je suis né d'une famille princière »

Délimitation des Frontières BENIN-TOGO: le BENIN et le TOGO s’activent pour le bornage



Depuis fort longtemps, le BENIN rencontre plusieurs problèmes autour de la délimitation de ses frontières. Plusieurs bornes de délimitations sont inexistantes ou introuvables dans plusieurs endroits rendant quasi impossible la capacité de réelle délimitation avec les voisins qui sont le Nigeria, le Niger, le Burkina-Faso et le Togo.

Ainsi, des mal compréhensions et des disputent voient régulièrement le jour. La mémoire des béninois est encore fraiche vis à vis des disputes à propos de l’îles de l’Eté objet de grandes et sévères malentendus entre le BENIN et le Niger, mais aussi d’autres conflits frontaliers moins populaires existent entre le BENIN et le Nigeria sans oublier le Burkina-Faso et le TOGO.

Pour ce qui concerne le TOGO de l’autre côté ouest du BENIN, j’en connais personnellement une zone frontalière à l’extrême ouest d’Aplahoué dans le Couffo oû les bornes de délimitations de la frontière entre le BENIN et le TOGO ont été déterrées une nuit probablement et portées disparues et nul ne sait qui les a déterrer et où les a-t-on mis. Cette zone dont je parle et une très grande et très riche en terre fertile bonne pour l’agriculture.

Mais à l’heure actuelle, nous ne savons où en est-t-on avec cette affaire.
Le Vendredi 12 Mai 2017 passé, un journal togolais a fait savoir que «Le Togo et le Bénin n’ont pas de conflit territorial, ils sont juste victimes d’incohérences héritées du tracé des frontières par le colonisateur.
Les experts des deux pays se réunissent régulièrement pour parvenir à une délimitation cohérente et définitive.
C’est dans ce cadre qu’a débuté à Madjatom (préfecture de la Binah, Nord Togo), une opération d’installation de bornes. 241 seront posées tout au long de la frontière. Elles permettront de corriger légèrement à certains endroits le tracé. Mais que l’on se rassure, ces mesures seront sans conséquences pour les populations riveraines.

Le bornage n’a pas pour objectif de séparer les deux peuples vivant le long de la frontière, mais de corriger les erreurs topographiques commises aux indépendances…….»

MTN BENIN / MOOV BENIN et autres réseaux GSM au BENIN défient le gouvernement béninois


Depuis février 2017 date à laquelle le gouvernement béninois par le biais de La ministre de l'économie numérique et de la communication, Mme Rafiatou Monrou a exigé des opérateurs GSM une baisse de leurs tarifs sur la communication, aucun des opérateurs de GSM n’a encore mis en exécution cette exigence de Mme la ministre et ceci sous l’œil apparemment impuissant du gouvernement ce qui donne l’impression de l’hégémonie de ces réseaux GSM face au gouvernement du BENIN.
Après l’ultimatum du gouvernement chacun de ces réseaux ont mis en place certaines offres selon lesquelles il faut devoir activer à chaque fois un forfait donné avant de bénéficier de la baisse du tarif, une baisse en séance tenante, dans un court délai. Même en activant, si lors de ta communication tu dépasses la durée offerte par l’activation de ton forfait, tu es facturé sur l’ancien prix d’avant l’ultimatum.
Pourquoi faut-il activer toujours et à chaque fois les forfaits avant de bénéficier de la réduction. Prenons le cas de nos mamans et papas de Cotonou et des villages qui ne savent pas et ne peuvent pas activer les forfaits, eux autres, ils ne bénéficieront jamais d’aucun avantage.
La réduction des tarifs doit être fait de façon générale sans aucune action avant d’en bénéficier.
Ce comportement, à notre avis est un mépris vis-à-vis du gouvernement du BENIN. Ces réseaux croient être plus malins. Mais, nous pensons qu’ils auront le temps de regretter leur entêtement face au gouvernement dès que le gouvernement mettra en action son bâton de représailles.
Espérons que le gouvernement va sans plus tarder réagir face à l’entêtement des différents réseaux GSM à savoir MTN BENIN, MOOV BENIN, BELL BENIN, GLO BENIN.

Aéroport International Bernadin Gantin de Cadjehoun : La Grève prévue a été avorté



La grève prévue pour ce mercredi 17 mai 2017 n’a pas eu lieu et pour cause les démarches du ministre des transports envers les syndicats ont porté leurs fruits.

Pour rassurer les uns et les autres, le ministre des Infrastructures et des transports Mr Hervé Hehomey a eu à déclarer au cours d’une rencontre tenue avec la presse à cet effet ce qui suit : « Toutes les dispositions ont été prises par le gouvernement afin que la situation soit maîtrisée ».

Il a ensuite rassuré les compagnies aériennes et tous les passagers de ce que les vols départ et arrivée enregistrés, ainsi que toutes autres activités se dérouleront sans anicroche ce mercredi, sur toute la plateforme aéroportuaire de Cotonou. Le gouvernement, en accord avec l’instance supérieure qu’est l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna) à Dakar, a pris toutes les dispositions utiles pour garantir aux compagnies aériennes et aux passagers, la sérénité totale dans le déroulement des activités de l’aviation internationale de Cadjèhoun, à en croire le ministre. L’autorité a déploré « la médiocrité dans laquelle se déroulent les activités aéroportuaires ». Une situation face à laquelle le Gouvernement du président Patrice Talon a pris la forte et idoine décision de confier la gestion de l’aviation à un concessionnaire, un professionnel, par un recrutement organisé en bonne et due forme, d’après Hervé Hèhomey qui n’entend pas reculer. « Aucun Béninois n’est fier de la manière dont est géré notre aviation », dira-t-il pour appeler les travailleurs à revoir leur position actuelle dans l’intérêt général du pays.

Ce mouvement de grève de 48 heures a été décrété par les agents du transport aérien réunis au sein du Syndicat national des travailleurs de la météorologie et de l’aviation civile (Synatramac), et ceux des Syndicats Unis des Travailleurs de l’Aviation Civile et de la Météorologie (Sutracim). Ils l’ont fait savoir le jeudi 11 mai 2017 au terme d’une assemblée générale extraordinaire tenue par ces syndicats au siège de la représentation de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne (Asecna) au Bénin. Pierre Gnangnon, Secrétaire Général Adjoint du Synatramac, François kpedotossi et leurs camarades ne sont pas d’accord avec le Gouvernement qui s’apprête à signer un contrat de délégation de gestion des activités aéronautiques nationales du Bénin. Ils dénoncent aussi leur marginalisation dans cette procédure. Pour eux, pas question d’attribuer la gestion à un concessionnaire étranger, sans la présentation au préalable du rapport du comité ad’hoc sur les travaux préparatoires au changement du mode de gestion des activités aéronautiques nationales. Selon eux, il s’agit d’un blocage des acquis sociaux des travailleurs de la Délégation aux activités Aéronautiques Nationales (Daan), de l’Asecna au Bénin. Ils veulent une seule chose : l’annulation pure et simple de la procédure d’appel d’offres de mise en concession de l’Aéroport International Cardinal Bernardin Gantin de Cadjêhoun.

Sébastien ADJAVON réclame 250 millards F CFA de dommages et intérêts à l’ETAT béninois


En novembre 2016, l'ancien candidat à la présidentielle et homme d'affaires était dans le box des accusés car 18 kg de cocaïne avaient été retrouvés dans un conteneur appartenant à sa société. Aujourd’hui, c’est lui qui attaque l’État béninois pour avoir attenté à ses droits et à sa réputation. Un préjudice qu’il évalue à 250 milliards de francs CFA, soit 380 millions d'euros.

Il n’y va pas de main morte. Dans la même semaine, Sébastien Ajavon soumet l’État béninois à deux assignations coup sur coup. En effet, le mardi 4 avril 2017, il porte une première plainte devant le tribunal de première instance de Cotonou pour « dénonciation calomnieuse tendant à nuire à sa réputation » dans l’affaire des 18 kg de cocaïne découverts dans un des conteneurs de sa société Comon Cajaf au port de Cotonou.

Dans sa plainte déposée contre X, l’opérateur économique fustige notamment le fait d’avoir été arbitrairement détenu à la Compagnie de gendarmerie de Cotonou durant toute une semaine. Selon ses avocats Maîtres Yaya Pognon et Issiaka Moustapha, toute cette « manœuvre tendait à salir principalement son image de marque ».

La même semaine, toujours via ses deux avocats, le roi de la volaille a saisi la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CADHP) concernant des dysfonctionnements dans la procédure : son arrestation au port, sa détention par la Compagnie de gendarmerie, jusqu’aux agissements du Parquet de Cotonou.

le plaignant estime que les accusations portées à son encontre ont lourdement pesé sur sa crédibilité

L’homme d’affaires estime que ses droits ont été violés, notamment le droit à un procès équitable garanti par l’article 7 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples. Par exemple, pour les avocats, la prorogation de la garde à vue de Sébastien Ajavon a été décidée « sans preuve ». Au-delà de la violation de ses droits, le plaignant estime que les accusations portées à son encontre ont lourdement pesé sur sa crédibilité vis-à-vis de ses partenaires d’affaires et que cela a eu pour conséquence le ralentissement de ses activités commerciales.

L’homme d’affaires évalue tout le dommage qu’il en a subi à la somme de 250 milliards de francs CFA. Au point que, en février, il avait quitté le conseil d’administration du groupe qu’il a fondé, Comon SA, pour préserver l’image de son entreprise.
« La main de l’exécutif a pesé »
Pour ses avocats, « il est sans équivoque que la main de l’exécutif a pesé dans le dossier. Et cette main avait un seul objectif : écarter un rival politique devenu trop gênant puisque trop populaire ».

Du côté du gouvernement, on se refuse à tout commentaire. Même si les journaux réputés proches de la présidence ont vertement dénoncé cette procédure judiciaire engagée par Ajavon, l’accusant de vouloir se nourrir des les maigres ressources de l’État, ou lui rappelant opportunément le « pardon » qu’il a accordé la nuit de sa libération sur les parvis de l’église St Michel de Cotonou.

L’affaire des 18 kg de cocaïne avait été jugée le 4 novembre 2016 par le tribunal de première instance de Cotonou. Au terme d’une audience de plus de 10 heures, Sébastien Ajavon avait été relaxé pour « insuffisance de preuves » et « au bénéfice du doute ». Cette affaire avait mis au grand jour la déliquescence des relations entre les deux alliés de la dernière présidentielle au Bénin en 2016.

Arrivé en troisième position au premier tour de ce scrutin, Ajavon, en faiseur de roi, avait soutenu Patrice Talon, l’actuel président béninois contre un accord de participation à la gestion du pays. Un accord qui lui garantirait, entre autres, la moitié des postes ministériels ; mais il n’obtiendra que trois ministères (communication, agriculture, enseignement secondaire) sur lesquels il n’a aucune mainmise puisque ces derniers sont « gérés depuis la présidence ».

Le précédent Talon/Yayi
Dans la conscience collective à Cotonou, les dommages et intérêts salés demandés par Sébastien Ajavon rappellent la sentence rendue par la Cour commune de justice et d’arbitrage d’Abidjan le 13 mai 2014.

L’État béninois avait été condamné à verser 142 milliards de francs CFA à un certain Patrice Talon dans le cadre d’un contrat lié au Programme de vérification des importations (PVI), unilatéralement annulé par le gouvernement de Boni Yayi.

Officiellement, Talon a renoncé à récupérer son dû. L’histoire nous dira si Ajavon aura, éventuellement, le même fair-play vis-à-vis du Trésor public du Bénin.

Source:Jeune Afrique

Le Président SOGLO prodigue des conseils au président Patrice TALON


C’était ce jeudi 13 Avril 2017 que l’ancien président Nicéphore Dieudonné SOGLO a eu à prodiguer quelques conseils au président TALON afin de l’aider à réussir le reste de son mandat présidentiel. IL lui prodiguait ses conseils en ces termes :

«… Nous étions, il y a un an, gonflés d’espoir au lendemain des élections. On se croyait revenu en 1990 sous la Transition. Mais après un bon départ, la machine s’est soudainement grippée. Et pour beaucoup, dès lors, le cœur n’y était plus ; pour les multiples raisons que nous connaissons tous…Le Président TALON a maintenant quatre ans pour redresser la barre. Il doit remettre le pays au travail en mettant le cap sur le développement économique et social…»

«Quel est donc ce puissant souverain qui est à la source de toute légitimité ? Ce sont simplement tous nos nationaux de l’intérieur comme de l’extérieur… » a-t-il poursuivit

Puis, il suggère 5 points qui sont selon lui obligatoire à revoir afin de satisfaire son peuple.
Voici les 5 points suggérés par l’ancien président SOGLO :

1. Les éternels oubliés : paysans et artisans qui représentent la majorité dans nos nations,
2. Les partis politiques : qui ont pour vocation d’écouter, d’aider, d’informer et d’encadrer le peuple,
3. Les syndicats, ordres et associations : qui doivent défendre les intérêts des travailleurs ou de leurs adhérents,
4. Les grandes religions : sans exception dont chacun connait le rôle,
5. Les institutions traditionnelles et la société civile qui sont nos vigies c’est-à-dire nos chiens de garde.
IL poursuit en disant :
«Il faut sans cesse les consulter et ne jamais oublier qu’on est souvent plus intelligent à plusieurs que seul. »

Crise à l’Ordre des pharmaciens du Bénin: La Cour suprême déboute l’aile Toukourou

Dans son arrêt, la Cour suprême déclare irrecevable le recours en annulation, ce qui vient conforter le camp du Dr Ainadou.

Un nouveau rebondissement dans la crise qui secoue l’Ordre national des pharmaciens du Bénin depuis fin 2014. La Cour suprême a rendu en janvier dernier une série d’arrêts dans le dossier.
Et les nouvelles ne sont pas bonnes pour l’aile de l’ONPB, dirigée par Dr Moutiatou Tidjani Toukourou. En effet, par deux arrêtés pris en décembre 2014 (un arrêté initial et un arrêté rectificatif), la ministre de la Santé de l’époque, professeur Dorothée Kindé Gazard, avait autorisé l’organisation des élections pour le renouvellement des instances dirigeantes de l’Ordre des pharmaciens du Bénin. Le processus électoral tel que mené, avait été contesté par la présidente sortante d’alors Dr Moutiatou Tidjani Toukourou.
Depuis, son camp et elle remettent en cause la légalité du bureau élu à l’issue des élections ordinales organisées au Palais des Congrès le 27 décembre 2014, et ayant à sa tête le Dr Henri Charles Ainadou. Conséquences, l’on assiste à un bicéphalisme à la tête de l’Ordre avec d’un côté l’aile du Dr Moutiatou Tidjani Toukourou, la présidente sortante et de l’autre Dr Henri Charles Ainadou.
Mais visiblement, la bataille juridique engagée fait beaucoup plus le bonheur du camp Ainadou. En effet, le camp du Dr Toukourou a introduit plusieurs requêtes à la Cour suprême pour l’invalidation du processus ayant conduit à l’élection du Dr Ainadou. L’une d’elles attaque le fondement juridique même dudit processus électoral. Le 17 mars 2017, une requête a été introduite auprès de la haute juridiction pour annulation pour excès de pouvoir de l’arrêté N°
0689/MS/DC/SGM/CTJ/DPMED/DA/SA,du 09 décembre 2014 portant modalités d’organisation des élections relatives au renouvellement des conseils centraux et du Conseil national de l’ordre des pharmaciens du Bénin, et l’arrêté N°0691/MS/DC/SGM/CTJ/DPMED/DA/CEO/SA du 18 décembre 2014, portant modification du premier arrêté.
Dans son arrêt, la Cour suprême déclare irrecevable le recours en annulation, ce qui vient conforter le camp du Dr Ainadou. Ci-desous une copie de l’arrêt de la Cour suprême.




Source: beninwebtv

La sexualité : Ils sont surpris nus et à l’acte sur un chantier délaissé

La sexualité, les temps jadis en Afrique, était considérés comme un très grand tabou, un sacré.
Jusqu’aux environ de l’année 2000, ce phénomène de sacralisation du sexe demeure encore intact.
Les années suivantes ont permis de faire des avancées considérables en passant de sacralisation absolue du sexe à une petite désacralisation, une désacralisation qui est encore à l’étape embryonnaire.
La sacralisation de la chose a eu raison sur deux de nos amis ( voir photo ci-dessous) qui, ne sachant comment et oû satisfaire leur désir sexuel, se font malheureusement surpris couchés à même le sol et à l’acte dans un chantier abandonné. La photo ci-dessous vous en dire plus.
Ces deux amis ont réussi à gouter la pomme interdite, malheureusement, ils sont surpris et photographiés au moins par deux reprises.
La sexualité, à quand la démocratisation sexuelle et sans crainte d’être surpris !
Un conseil : Si vous ne souhaitez pas être surpris à l’acte comme nos deux amis, alors ayant votre femme ou votre mari et soyez-en fidèle, sinon, attention à la caméra et photo espions.

Candide AZANNAI annonce sa démission du gouvernement




La démission de Candide Armand-Marie AZANNAI, ministre délégué auprès du président de la république chargé de la défense a sonné comme un coup de tonnerre ce lundi 27 mars 207 dans la matinée.
Alors que l’homme jusqu’à ce lundi matin était considéré comme un pilier incontournable du gouvernement TALON, vient de démontrer le contraire au public béninois.
Sa démission laisse entendre que le gouvernement du Nouveau Départ ne peut plus compter sur Lui.
Heureusement pour le pouvoir qu’après Candide, se trouvent d’autres piliers importants dont l’incontournable Iréné KOUKPAKI et le ministre du développement Bio TCHANE. IL est vrai que le natif de Porto-Novo Mr Candide AZANNAI était un poids pour le gouvernement, mais sa démission en ce moment ne peut pas pour autant fragiliser le pouvoir en place.
Si l’éloignement du patron de Cajaf COMON, Mr Sébastien ADJAVON n’a pas en son temps fragiliser le gouvernement, la démission de celui-ci ne le fera non plus.
Face à cette démission, les réactions sont diverses. Chacun se fait une vision ou une idée de cette démission surprise.
Nous en tant que béninois, ne pouvons que souhaiter bonne chance au ministre sortant Mr Candide AZANNAI dans ses prochaines activités qu’elles soient politiques ou non.






Réformes et urbanisation de Cotonou

Il n’est plus un secret pour personne que les réformes entamées par le gouvernement de Patrice Talon ont pour but l’urbanisation de tout le BENIN en commençant par la métropole Cotonou.
La libération des espaces publiques soldant par le déguerpissement forcé des usagés s’inscrit bien dans ce schéma d’urbanisation.
Dans un pays bien démocratique comme le nôtre, il est tout à faire normal que nous rattrapions le train en marche, ce train d’urbanisation à grande visite observée chez nos confrères ghanéens, sénégalais, ivoiriens par exemples.
Cette réforme entamée par le chef de l’Etat ne peut réussir que par la volonté et la détermination populaire.
Pour réussir, cette réforme doit avoir le soutien de la classe politique béninoise. Aucun gouvernement ne peut véritablement réussir sa mission s’il n’est accompagné de la classe politique de son pays.
Pour le cas de notre cher pays le BENIN, à l’heure actuelle, nous glorifions le Grand et Créateur DIEU du Ciel de ce qu’il n’y a pas de brouilles entre la classe politique béninoise et le gouvernement.
Même si à l’avenir, une quelconque brouille intervenait entre le pouvoir et la classe politique, nous rendrons toujours grâce au Grand DIEU de ce qu’il permettra que le Bénin s’urbanise réellement et qu’il se développe rapidement.
Le BENIN ne peut parvenir à l’urbanisation et au développement que par l’autodiscipline de ses fils.