Une jeune maman pique crise en pleurant l’échec de son fils ainé


Elle tombe dans le coma après l’échec de son fils au CEP



Dans un quartier de Cotonou, juste après la proclamation des résultats du CEP session de Juin 2016, une jeune femme d’une trentaine d’âge environ, ne pouvant pas supporter l’échec au CEP (Certificat d’Etudes Primaires) de son fils ainé, se fond en large. Elle pousse des cris de gémissement, des cris de deuil, des cris d’amertume faisant des va-et-vient dans sa maison avant d’éclater de pleure. Elle pleure amèrement et à gorge déployée. Il affirme ne pas comprendre cet échec et se demande pourquoi dans leur maison, sur trois (03) candidats au CEP, se serait son fils seul qui va échouer.
Dans ses nombreux discours lors de son gémissement, elle évoque aussi de nombreuses dépenses qu’elle a eu à effectuer sur son fils. Pleure et gémissement comparable à ceux qu’on entend quand il y deuil.
Malgré toutes les consolations morales que sa maisonnée lui apporte, celle-ci ne se désarme pas de son amertume. Après 4 heures de temps sombres de gémissement, elle tombe évanouir et n’était revenue en elle qu’après environ 1h30 de temps.
Cette jeune maman, que ferait-elle si son fils échouait au BEPC ou encore que ferait-elle si son enfant échouait pour le Baccalauréat ?
Conseils : L’échec au CEP n’a jamais été la fin du monde et ne la sera jamais. Ayons le courage d’accepter et de supporter nos échecs s’ils se présentent à nous. Perdre une bataille ou deux batailles ne signifie pas perdre la guerre. Et sachons aussi que qui perd son courage, perd sa guerre. La vie c’est une guerre et se sont les courageux qui la gagne.

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